
Je cadre les idées.
J’éclaire les intentions.

Ce que j’ai appris en dix ans sur le terrain, et entre les lignes
Je n’ai pas fait d’école de cinéma.
J’ai appris sur le terrain.
D’abord en solo, puis entouré.
À cadrer, à éclairer, à rater, à recommencer.
J’ai tourné pour des marques, des institutions, des agences.
En Bretagne, en France, à l’étranger.
Et ce que j’ai compris, c’est que ce métier ne tient pas qu’à la technique.
Il tient à l’écoute. À l’intention.
À ce qu’on veut vraiment faire ressentir.
Ni exécutant, ni artiste solo.
Un partenaire.
Mon rôle, ce n’est pas d’exécuter un brief à la lettre.
C’est de le comprendre. De le challenger.
Et si besoin, de le bousculer pour qu’il serve mieux votre objectif.
Je ne fais pas des vidéos pour qu’on dise “c’est beau”.
Je les fais pour qu’elles soient justes.
Et qu’elles restent.

Ce qui me parle.
Ce que je cherche.
J’aime les projets qui prennent le temps.
Ceux où on cherche la bonne intention, la bonne lumière.
Ceux qui racontent, même entre les lignes.
J’aime les gens curieux, exigeants, humains.
Les sujets qui touchent. Les idées qui résonnent.
Et les images qui ne s’oublient pas.


Et sinon ?
Je suis breton. J’adore le cinéma, surtout quand il ose les contrastes.
Je passe trop de temps à regarder des tests d’optiques vintage sur YouTube. Et encore plus à peaufiner l’étalonnage de mes plans.
Je suis fan du travail de Greig Fraser, et je pourrais disserter sur les couleurs de The Batman ou Dune toute une soirée.
Mais ce que je préfère, c’est quand un projet commence par une vraie conversation. Le reste, on verra autour d’un café. Ou d’un brief.
Tout commence par une conversation.
Pas besoin d’un brief parfait pour démarrer. Juste une envie, une vision, un premier échange. Le reste, on le construit ensemble.